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Ce projet prévoit la création de 4 modules supplémentaires d'enrichissement d'uranium naturel situés au Nord de l'Unité Nord (passage de 6 à 10 modules). Ces nouveaux modules sont identiques aux modules existants.
Augmentation des capacités de production annuelle de l'installation nucléaire de base (INB) d'enrichissement d'uranium Georges BESSE II en portant sa capacité annuelle de 7, 5 millions d'unité de travail de séparation (UTS) à 11 millions d'UTS.
Selon ORANO: nécessité pour les États et les électriciens occidentaux de réduire leur dépendance par rapport aux importations russes d’uranium pour éviter la pénurie et assurer ainsi la sécurité d’approvisionnement du monde occidental, la guerre Russie-Ukraine ayant eu pour conséquence de relancer l’urgence à augmenter les capacités d’enrichissement occidentales.
Coût approximatif au stade de la saisine : 1, 3 milliard d'euros.
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Le débat public portait sur le projet de nouvelle usine d'enrichissement dénommée Georges Besse II, en remplacement de l’usine Georges Besse d’EURODIF, exploitée depuis 1974. Les objectifs du projet étaient d’une part, de satisfaire les besoins en combustible nucléaire et, d’autre part, d’assurer la pérennité socioéconomique du site du Tricastin.
Le projet présenté en débat public consistait en l’implantation de deux unités de production, l’une au sud du site et l’autre au nord et, ultérieurement, d’une troisième initialement prévue à l'est. Deux nodules de l’unité nord sont conçus pour utiliser de l’uranium issu du retraitement. La capacité nominale de l’usine envisagée était de 7,5, « voire 11 millions d'UTS » par an. Le procédé d'enrichissement retenu (la centrifugation) était différent de celui de l’usine historique Georges Besse d’EURODIF (diffusion gazeuse).
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