La carte des projets

Cette cartographie interactive a été conçue et entièrement réalisée par l’équipe du débat. Elle a vocation à être enrichie tout au long du débat et à être mise à jour. Elle s’appuie sur des données mises à  disposition par l’IGN, le SHOM (Service hydrographique et océanographique de la Marine) ou les services de l’État, dans leur version la plus récente.

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Méthodologie

Le placement des pictogrammes identifiant les projets n’indique pas toujours la localisation précise du futur équipement. Certaines coordonnées géographiques ponctuelles ont été fournies par la préfecture de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur. D’autres sont déduites de fichiers de types surfaciques. Ainsi, certains pictogrammes sont placés au centre des parcelles détenues par l’entreprise porteuse du projet. Dans le cas des projets de transport routier et de transport d’énergie (THT, hydrogène), le pictogramme est placé au centre de l’emprise, et ne présume pas d’un enjeu particulier à cet endroit précis. Dans le cas des projets de liaison THT et de transport d’hydrogène, les polygones affichés ici sont des périmètres d’étude et non des délimitations exactes de l’impact du projet. Leur superposition précise avec certaines couches géographiques d’enjeux doit être interprétée avec précaution.

Nous mettons à disposition des couches d’information supplémentaires qui permettent d’évaluer les enjeux possibles de chaque projet. Chacune de ces couches géographiques a été réalisée par l’équipe du débat à partir des données mises à disposition par l’IGN, le SHOM ou les services de l’État. Les fichiers bruts ont été traités à l’aide de librairies Python et javascript, ou à l’aide du logiciel libre Qgis. Certaines données géographiques ont été agrégées afin de faciliter la lecture de la carte. C’est le cas, par exemple, des zonages détaillés des plans de prévention des risques. Le risque incendie représenté ici ne retient que l’aléa subi “très fort” et “exceptionnel”.

Les cours d’eau et les surfaces aquatiques représentées sur le fond de carte ne comprennent pas les éléments qualifiés d’intermittent ou sec par l’IGN. La couche de végétation ne comprend que les surfaces arborées, à l’exception des vergers, qui sont inclus dans les zones agricoles.

La couche des zones artificialisées est tracée en agrégeant les bâtiments, parkings, routes goudronnées, voies de chemin de fer, aérodromes, terrains de sport… identifiées par l’IGN et recensées dans la BD Topo (millésime de décembre 2024). Nous avons appliqué une méthode de dilatation-érosion. En clair, on remplit le vide entre chaque bâtiment distant de moins de 100 mètres. Les bâtiments isolés n’ont pas été pris en compte. Cette couche ne doit donc pas être interprétée comme une couche des “zones urbanisées”, dont la définition est plus restrictive, représentées habituellement sur les cartes de l’IGN ou d’Openstreetmap.

Le trait de côte est défini par la “limite terre-mer”, calculée par le SHOM à partir de la laisse des plus hautes mers astronomiques (PHMA) dans le cas d'une marée de coefficient 120.

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  • Publié le
  • Date de dernière mise à jour : 02/04/2025